Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (100)

Nous venons de rentrer de Bordeaux et nous nous sommes arrêtés à Saujon dans le bar où Jacqueline a commis ses turpitudes, je me suis amusé avec le patron qui souhaitait la prosti.
J’en ai fait une carpette pour lui montrer ce que faire la pute voulait dire en consommant sans payer et en vidant son tiroir-caisse que j’ai donné à notre amie qui l’avait bien mérité.

Véronique est sortie fatiguée de l’hôtel et a dormi tout le long du retour enserrant sur sa poitrine un certain nombre d’enveloppes.
Dans une chambre Katia tout en gardant la fille d’Anne s’est servi du vibro tournant pour se donner du plaisir.
J’accepte tant qu’elle garde son petit capital.
Je repousse la porte les laissant dormir et je grimpe à la chambre du dernier étage.

Les deux lits sont vides.
Intrigué, je redescends.
Marie-Ange prépare du café, Valériane assise sur la pelouse à côté de Véronique lui tamponne le front avec un linge mouillé.

• Je vais faire un tour chez Jacky, savez-vous où sont passés Odile et Alain.
• Non Christine,

Je traverse, la porte d’entrée est fermée et la clef qu’il planque est là, je visite rapidement personne.
Je ressors le portillon menant chez Lison est ouvert, intrigué, je le franchis.
La porte de côté face à moi est ouverte.
Pourvu qu’aucun des occupants ne pense à un rôdeur si je fais un peu de bruit.
Du bruit j’en entends en haut de l’escalier cela m’intrigue, subrepticement je monte, cela vient de la cuisine, qui l’a amené là ?
La malédiction de la table de Jacky a encore frappé, Odile est là nue, les fesses posées dessus et la chatte remplie par la verge de Guy.

• Je vous aime toutes, baiser autant depuis que vous êtes arrivées était impensable avant.
• Oui mon étalon, fourre-moi à fond, tu vas me faire jouir aussi fort que mon taureau de mari.

Je laisse mes tourtereaux à leurs plaisirs et je me glisse vers la chambre du couple.


Lison et Alain dorment.
Leurs positions ne présentent aucune équivoque, le soixante-neuf qu’ils viennent de se prodiguer et qui les ont foudroyés les à laisser la bouche près de la fente de la femelle et même s’il s’est rétracté avec le sexe d’Alain en main aux abords de sa figure.
Je redescends et je retraverse la rue.
Il est facile d’aller et venir au gré des partis de jambes en l’air des uns et des autres sans se faire remarquer tellement ils sont attentionnés à se donner du plaisir.

Marie-Ange me sert un café qui me revigore un peu.
Il est onze heures la faim doit bientôt réveiller Sindy, je monte prendre une douche.
Sindy et Katia viennent de se réveiller et elles jouent ensemble.

• Oh ! Christine tu es rentré !
• Oui et je t’ai vu dormir tout à l’heure !
Comment as-tu atterri ici ?
• Hier, quand vous êtes partis, maman s’est retrouvée seule avec Odile et Alain.
Depuis hier où elle a préparé les céteaux avec eux, ils ont sympathisé, elle les a invités à dîner et elle est rentrée préparer le repas, c’est une cuisinière hors pair quand elle décide de se mettre aux fourneaux et qu’elle reçoit des amis qui lui sont chers.
Quand je les ai rejoints pour faire manger la petite, mon père était toujours absent.
La première chose que j’ai vue c’est qu’elle avait changé la table de cuisine et avait récupéré la table de la maison de Jacky.
Ils prenaient tous les trois l’apéritif.
La petite rassasiée je suis monté la préparer pour la nuit.
J’étais mal fichu, tu es une femme et je pense que mon système hormonal est en train de se mettre en route et j’ai souvent quelques écarts entre deux périodes.
Je suis redescendu pour les prévenir de dîner sans moi, mon père était de retour et les deux couples semblaient énormément s’entendre.
Je suis remonté dans ma chambre où Sindy dormait dans son petit lit, je me suis déshabillé et j’ai ouvert ton cadeau.

La vue du vibro que tu m’as offert m’a beaucoup plu, sa forme avec sa boule ronde m’a tout de suite fait comprendre que tu souhaitais que je ne puisse me pénétrer et me déflorer moi-même.
La petite étant sage en dormant à poings fermés, tout de suite j’ai appuyé sur le bouton « on » et je l’ai approché de mon sexe nu car en me couchant j’avais oublié de mettre mon pyjama à cause de la chaleur.
Dès que je l’ai appuyé sur mon clitoris ses vibrations l’ont enflammé.
• C’était la première fois que tu te caressais.
• Non, j’aime me masturber je le fais tous les soirs, mais comme je me préservais sans que tu me le dises, je sentais que mes jouissances étaient superficielles.
• Je pense que les frottements sur ta vulve de mon gode ont décuplé ton plaisir.
• Dix fois, cent fois plus qu’avec mes doigts surtout qu’en le manipulant, je pensais à toi.
• Merci mon cœur, mais dit moi pourquoi tu es là si tu étais monté dans ta chambre dans la maison de tes parents ?
• Je venais de prendre un deuxième plaisir quand ils ont démarré la musique sur la chaîne du salon.
Le son était tellement fort que la petite s’est réveillée et a commencé à pleurer, j’ai tout essayé pour qu’elle s’arrête.
Cela m’est arrivé une fois et j’avais appelé Anne qui passait la soirée dans ta villa et qui est de suite arrivée.
L’idée m’est venue de traverser la rue.
J’ai mis mon pyjama et je suis descendu Sindy dans un bras, ton cadeau dans l’autre.
Pense à la peur que j’ai eue quant au moment de traverser la rue une voiture est passée.
Quel spectacle j’ai du leur donné un dans les bras un gode de l’autre !
Dès qu’elle est passée, j’ai discrètement récupéré ta clef que maman cache pour qu’elle soit à disposition de papa ou de moi si elle est absente.
Je me suis engouffré chez toi et suis venu me réfugier dans ta chambre !
La petite s’était rendormie, je me suis allongé en gardant le bas de mon pyjama.

J’ai recommencé à frotter mon vagin.
Ton odeur ajoutée à celle de Virginie a décuplé mon plaisir.
Je me suis endormi en pensant qu’il faudra que je te rende au centuple les plaisirs que tu m’as apportés depuis que tu es entré dans ma vie.
• Oui mon cœur encore quelques jours à être sages et après je te promets tous les plaisirs que tu auras seule décidé de prendre.

Pour la première fois je craque, je lui prends la tête et nos lèvres se trouvent, j’arrête rapidement car je connais mon tempérament et me connaissant je serais capable de lui prendre sa virginité qui m’est si précieuse.

• Viens descendons, je commence à avoir faim et la petite aussi même si elle dort, j’entends les autres qui arrivent.

Comme pour me donner raison, Sindy nous rappelle à l’ordre en battant des mains et en appelant sa maman.
Sa maman elle la retrouve dès que nous rejoignons la salle où tous viennent de rentrer.
Au regard émerveillé d’Anne lorsque la petite passe dans ses bras gazouillant maman, je suppose que c’est la première fois qu’elle l’entend.

• Tous sur la terrasse c’est l’heure de l’apéro !

Madeleine vient de nous inviter à sortir sur la terrasse.
Les hommes mettent les tables en place et les filles amènent verre et bouteilles accompagnés de petits fours.
Katia vient vers moi et discrètement me dit qu’elle s’éclipse car elle a un rendez-vous avec une copine qui l’a invité à manger à Nausicana à midi.

• Sais-tu ce qu’elle fête avec moi ?
• Son bac, son permis de conduire !
• Non la perte de sa virginité il y a une semaine une nuit sur la plage au clair de lune avec son copain à qui elle avait promis qu’il serait le premier.
Il venait à peine de la pénétrer sentant sa verge commencée à aller et venir en elle quand venant du port un groupe est passé dans la nuit dont certains couraient lui faisant la peur de sa vie.

Comment lui dire que je faisais parmi de ce groupe qui venait de tourner une scène porno avec Johnny Biroute et le garçon à la seule couille Tof.

Comment lui dire que je regrettais d’avoir perturbé une jeune fille inconnue la perturbant au moment où elle devenait femme moment qui souvent est inoubliable pour nous jusqu'à la fin de nos jours, même si moi je fais partie de celle qui se souvienne plus de mon premier émoi avec Virginie qu’avec petite bite !
Katia parti après avoir mangé, je fais le tour de tout le groupe.

Sur son transat, Véronique semble émerger. Valériane lui fait boire une tasse de thé qui reste sa boisson préférée.
Qu’est-ce qu’il y a dans ces enveloppes qu’elle sert toujours sur ses seins ?
Le thé bu, elle réintègre définitivement, je vois son visage s’éclairer comme celui que je lui vois tous les jours plein de vie et d’envie.

• Véronique peux-tu t’asseoir près de nous, peux-tu nous raconter ce qui t’a mis dans cet état ?
• Donnez-moi une chaise s’il vous plait !

Tous sont installés, pendus à ses lèvres, elle peut commencer son récit.

• Pour commencer évitez de m’interrompt, mes neurones sont encore dispersés.
• Commence ma grande nous sommes tout ouïes.
• Quand nous sommes arrivées hier soir je suis monté à la chambre 210 avec ma valise comme prévu dans nos contrats.
J’ai frappé et un homme de taille moyenne m’a ouvert et m’a fait entrer. La chambre était plus vaste que les chambres habituelles, je devais être dans une suite…

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